» – Vous êtes trop généreuse pour vous jouer de mes sentiments.
Si les vôtres sont les mêmes qu’au printemps dernier, dites-le-moi tout de suite.
Les miens n’ont pas varié, non plus que le rêve que j’avais formulé alors.
Mais un mot de vous suffira pour m’imposer le silence à jamais. «